Décrypter l’intelligence vivante de l’émotion

Année : 2021

« Est-ce que ce sont les temps qui sont troublés ou bien nous qui ressentons du trouble dans ce temps de contagion virale? »

La question mérite toute notre attention.
Si ce sont les temps qui sont troublés du fait de la contagion virale due au Covid 19, alors les temps deviennent un danger, voire une menace, et il nous faudrait coûte que coûte fuir ou lutter, échapper ou faire la guerre. A défaut, nous devrions subir notre sort. Voilà comment nous nous rendons dépendants de facteurs qui nous échappent et « les temps » deviennent occasion d’utiliser nos « vieux » automatismes défensifs : fuir, lutter, subir.

Inversement, si c’est nous qui nous sentons troublés, alors nous pouvons faire un bon usage de la logique émotionnelle : ce ressenti vient nous interpeller sur nos actions, nos pensées, nos gestes, notre façon d’être présent dans la situation. Il ne s’agit pas de la nier ou de la dramatiser, mais de regarder ce qui est de notre ressort face à cette situation.

Un bon usage, c’est déjà se poser la question du « comment je fais déjà ? » Comment je me conduis ? Comment je me comporte vis-à-vis de mon désir naturel et essentiel de santé, de sécurité intérieure ? Comment je prends soin de moi ? Quelles sont mes pensées automatiques et donc spontanées et irréfléchies ? Que disent-elles de mes habitudes de survie ? 

A ces questions, premières car nous ne pouvons échapper à notre propre désir d’existence, nous ajouterons alors, comment je me conduis avec mes proches, puis mes moins proches, la collectivité. Car nous ne pouvons agir qu’à partir de ce qui est présent en nous. Et cette connaissance nous permet de nous ouvrir aux autres, aux plus fragiles bien sûr, aux plus émotifs aussi.

Comment je m’informe, comment j’évite certaines informations, comment je me protège, comment je me nourris, et de quoi ? Comment je respecte ou pas les consignes ? Autant d’attention portée sur nos façons de répondre à la situation, perçue par nos sens et filtrée par nos représentations et nos fictions, qui nous aidera à entrer dans le réel, dans la conscience de nos habitudes défensives et de l’erreur à se penser à l’aune de nos peurs.

Non, nous n’avons ni à subir, lutter, dépasser ou nier, que ce soit la situation ou nos peurs !
Nous pouvons agir dans le respect de la logique du vivant, entendre notre désir naturel de sécurité et lui accorder toute sa valeur, pour nous-mêmes et notre communauté.

Prenons soin de nous et donc des autres. Telle est notre responsabilité, modestement.

Catherine Aimelet Périssol et Sylvie Alexandre Rochette

Donner au passé sa juste place pour agir en conscience au présent

L’émotion est un langage universel, même si les cultures diffèrent.

Le tout petit bébé le connaît instinctivement. Mais, sous l’impact de l’éducation, de la socialisation et d’événements déstabilisants, nous en avons perdu l’usage. Heureusement, celui-ci revient au fur et à mesure que nous nous exerçons.

Quand nous comprenons ce que la peur, la colère et la tristesse nous disent, quand nous réalisons que nos comportements d’évitement, d’agressivité ou de soumission s’adressent à nous pour nous inviter à questionner nos automatismes et nos croyances, alors nous nous libérons de notre passé pour agir en conscience au présent.

Oser être soi passe par la reconnaissance du fonctionnement de notre réalité. L’aveu à soi-même de notre vulnérabilité, de notre impuissance à être parfait, à être autre que ce que nous sommes, fera alors écho à la richesse de notre potentiel.

L’émotion, avec les nombreux symptômes qui l’accompagnent, se manifeste dans un écartèlement entre un « ce dont j’ai besoin pour être intègre » et un « interdit au nom de l’autre ». Nos réactions de défense tentent de combler, dans l’urgence, cet écart qui menace la vie. N’en restons pas à ces réactions automatiques et coûteuses sur notre équilibre !

Le Crocodile et la Mangouste

Où il est question de cerveau « reptilien », une fable LE :

Professeur Croco, j’ai lu sur Internet que nous, mammifères, avions un cerveau reptilien. Est-ce un fait avéré ?

Et bien chère Mangouste, baille longuement l’éméritus, qui venait de déjeuner d’une petite gazelle, il nous faut chercher très loin dans le temps un ancêtre à nous deux commun. Plus de 300 millions d’années. Il ressemblait à un petit lézard. Son organisation cérébrale est depuis longtemps oubliée. Son cerveau devait être plus simple, un peu comme celui d’un amphibien d’aujourd’hui. Il faut une grande imagination pour dire que nos cerveaux se sont développés en couches successives et que cet ancêtre commun nous a légué son organisation cérébrale dans les profondeurs de la nôtre !

Pourtant professeur, beaucoup, et notamment chez ce grand arrogant de Sapiens, disent qu’il existerait une partie de leur cerveau qui serait essentiellement viscérale et ils l’appellent volontiers le cerveau « reptilien ».

Sapiens ! marmonne le Saurien en ouvrant un œil, au milieu de sa sieste postprandiale au soleil, et bien Mangouste, sais-tu que jusqu’il y a encore peu il se disait être l’espèce élue et que son cerveau était plus moderne que celui des autres animaux actuels, et bien entendu que celui des reptiles qu’il considère primitifs ? Or il a fini par se rendre compte de ce que la biologie nous a conduit à des évolutions parallèles. Chacun s’est adapté à l’environnement dans lequel il vit. Nous crocodiles possédons d’ailleurs aussi un Cortex. Sapiens l’a interprété comme étant l’analogue de son Striatum(1) avant de corriger son erreur.

Le fait avéré murmure encore Croco toujours un peu somnolent, c’est que nous partageons avec l’ensemble du monde animal la capacité de réagir par des automatismes au moment présent. Puis, pour nous adapter, nous mémorisons les comportements dont l’expérience répond à nos besoins. Enfin nous nous projetons en anticipation d’un futur probable.

Mais alors Professeur, comment expliquez-vous qu’autant d’humains se disent avoir un cerveau reptilien ?

Ah Mangouste ! Mon ami Lionel(2) me parlait justement de Sapiens il y a quelques jours. Il me disait que chaque humain est structuré pour donner nom et sens à ce qu’il observe quitte à réduire ses observations à ce qui l’intéresse. Quand quelque chose lui échappe, il invente inconsciemment ce qui lui manque à partir de ce qu’il reconnaît. Puis il prend conscience de la représentation qui en résulte. Ensuite il croit fermement avoir tout perçu et tout compris. Du moins tant que la réalité le prive d’un démenti catégorique.

Selon moi, continue Croco, cela conduit Sapiens à qualifier de reptilien la vitalité ontologique même qui l’anime. Il la mécomprend, et il aimerait en éviter les manifestations, les maîtriser ou s’en couper. Comme s’il voulait se débarrasser de sa condition animale ! Par désir de cohérence, il fait comme s’il pouvait attribuer ses mécanismes homéostasiques à quelque chose qu’il peut nommer, qu’il voit vivre autour de lui dans les marigots, qu’il considère comme primaire. Ironie de l’histoire, pour avoir d’avantage de vie, il en vient à déconsidérer les mécanismes même d’incarnation de sa vitalité. Il préfère vivre dans la cohérence de ses interprétations plutôt que dans une ouverture attentive à ce qui lui arrive, à observer le monde, pour progresser dans ses connaissances.

Oh oui Professeur, c’est vrai qu’il est beaucoup plus facile de se laisser aller à interpréter que de se concentrer sur son expérience de vie et ce qui se produit. Quelle chance nous avons d’étudier avec vous les réalités biologiques de la nature. Moi j’ai du mal à comprendre Sapiens. Pourquoi alors qu’il est bien plus gros que moi, a-t-il peur des serpents ? Moi, j’aime bien les serpents.

Le docte savant bouge un peu la queue et, ouvrant son deuxième œil, se réveille tout à fait.

Mangouste, tu es une étudiante brillante et tu as bien compris que si tu te débarrasses de tous les serpents, tu seras privée de l’excitation de les chasser, et du goût de leur chair. Observer la biologie et mieux la connaître te permettent d’accéder à l’intelligence et à la sagesse de 4 milliards d’années de vie et d’évolution. Une connaissance que tu peux mettre à profit pour te comporter en animal responsable, plutôt que de répéter tes automatismes, instinctifs ou appris. Une école d’humilité aussi, puisque si aiguisés que soient nos cerveaux, ce que nous ignorons est incommensurablement plus vaste que ce que nous connaissons. L’univers est une source infinie de nouveau. Au moins en y étant attentif, et même si le sens que nous donnons à la vie devient plus incertain, nous pouvons ainsi prétendre disposer d’un remède à l’ennui.

Sur ce et sans un mot, le Saurien se glisse dans l’eau du marigot, et s’en va se rafraichir les idées.

Olivier Vidal

(1) En neuroanatomie, le striatum est une structure nerveuse sous-corticale. Il est impliqué dans le mouvement volontaire, les comportements appétifs ou aversifs, la gestion de la douleur (via le système dopaminergique) et la cicatrisation voire la régénérescence de certains tissus cérébraux. Source Wikipédia.

(2) Lionel Naccache ICM (institut cerveau et moelle épinière ) auteur du livre « Le Cinéma Intérieur » Odile Jacob octobre 2020

Mon oncle d’Amérique

Mon oncle d’Amérique est un film français réalisé par Alain Resnais, réalisé en 1979 et sorti en 1980

Synopsis :

Le professeur Henri Laborit intervient au cours de trois récits entremêlés pour expliquer ce que nous savons aujourd’hui du comportement humain :

Jean Le Gall, issu de la bourgeoisie, ambitieux, mène une carrière politique et littéraire. Pour la comédienne Janine Garnier, il abandonne sa femme et ses enfants. Janine a quitté sa famille, de modestes militants communistes, pour vivre sa vie. À la demande de la femme de Jean, qui prétend être malade et condamnée, elle le quitte, puis devient conseillère d’un groupe textile où elle doit résoudre le cas difficile de René Ragueneau, fils de paysan, catholique, devenu directeur d’usine.

Le film se déroule en permanence sur trois niveaux : l’histoire racontée, les représentations mentales des protagonistes influencées par le cinéma et par leurs souvenirs propres, et des images d’expérience sur les rats n’ayant pas de rapport évident sur le moment, mais qui deviennent éclairantes sur le comportement des personnages à la fin du film.

Selon Laborit, la conduite est réglée par quatre éléments : la consommation (boire, manger et copuler), la gratification, la punition (avec pour issues la lutte ou la fuite) et enfin l’inhibition de l’action.

Il reprend la théorie de Paul D. MacLean des trois niveaux cérébraux (ou « cerveau triunique », qui guidait la réflexion neuroscientifique à l’époque) :

  • Un cerveau reptilien, commun à tout le règne animal, qui assure nos réflexes de survie et qui dirige notre comportement de consommation ;
  • Un deuxième « cerveau », le cerveau limbique, commun à tous les mammifères, celui de la mémoire, qui guide notre comportement de récompense : il nous fait fuir les expériences que l’on a connues douloureuses (Chat échaudé craint l’eau froide) et agir pour rechercher le plaisir. Si toutes les issues sont bouchées, l’inhibition de l’action provoque le stress et déclenche des maladies ;
  • Notre troisième « cerveau », le néocortex, plus développé chez l’espèce humaine, permet d’associer des idées provenant d’expériences différentes plus abstraites. Il ne nous sert hélas bien souvent qu’à tenir un discours qui permet de justifier nos deux premiers comportements.

Le néocortex devrait nous permettre de comprendre que ces deux premiers cerveaux n’instaurent que des comportements de domination entre les hommes. Or l’homme n’est fait que de son contact avec les autres hommes. Ne pas être conscient qu’il faut au moins canaliser les instincts de domination (puisque nous ne pouvons les éliminer) ne peut conduire qu’au malheur individuel et collectif. Ainsi, selon Laborit qui conclut le film, connaître ces mécanismes ne permettrait certes pas de les éliminer, mais au moins de les utiliser pour faire autre chose, de même que l’étude patiente des lois du mouvement n’a nullement supprimé la gravité, mais nous a permis néanmoins d’aller sur la Lune !

Source : Wikipedia

Extrait du film « Mon oncle d’Amérique« 

La liberté, c’est par là !

Comprendre ses émotions au lieu de les refuser est le début de la libération.

Dans l’émotion, deux voies s’offrent à nous :

Soit nous faisons la sourde oreille au message du crocodile et à l’intention vivante contenue dans l’émotion. Le « reptile » prend alors les commandes.

Soit nous prenons en compte le message et l’intention grâce à nos structures cérébrales plus récentes, notamment le néocortex. Nous écoutons alors l’intention intelligente du processus émotionnel et accueillons notre vulnérabilité. Cette information venue de notre être le plus intime et le plus fiable est là comme une invitation à stimuler notre créativité pour nous adapter à la situation dans le respect de soi et des autres, autrement que sous la pression des réactions défensives.

Les émotions nous renseignent sur nos besoins fondamentaux, comme la faim et la soif nous informent sur nos besoins de manger et de boire. L’émotion a donc une fonction vitale. Le vrai danger, pour soi comme pour la collectivité, est de la nier, de la rejeter ou de la subir sans en entendre l’intelligence et sans inventer de nouvelles réponses adaptées. La considérer au contraire comme une information utile et chargée de sens, comme un message bénéfique – bien que douloureux – est le début de la libération qui ouvre sur le choix de l’action à mener.

Le besoin d’Identité

Pour se protéger de ce qui pourrait menacer, mais aussi pour mieux assurer les besoins de nourriture, les hommes se sont organisés en groupes.
Au sein de cette organisation, l’individu cherche à trouver sa place, alliant appartenance au groupe et recherche de distinction individuelle.
 
Le besoin d’identité va aussi s’organiser autour des deux polarités, statique et dynamique. L’identité est affaire de posture dans le monde relationnel, à commencer par la place que nous occupons dans le groupe, la reconnaissance que nous nous accordons, qui nous est accordée, et celle que nous accordons à notre entourage.
 
Les apprentissages, la communication participent à l’expression de notre identité. La colère et la réaction de lutte cherchent à défendre une identité qui a été blessée.
Là encore, c’est la sensation de tension et d’agressivité qui sert d’indicateur sur notre besoin en manque de satisfaction. Attention, il ne s’agit pas d’attendre de l’autre qu’il comble notre manque. Notre besoin ne concerne que nous face à l’autre …

Le besoin de sécurité

Il consiste à être sûr et confiant dans son abri pour pouvoir dormir sur ses deux oreilles… et libre de ses mouvements pour pouvoir se sortir des dangers de l’environnement.
Le besoin de Sécurité va donc s’organiser autour de deux polarités, l’une statique et l’autre dynamique.
 
La sécurité est affaire de structure dans le monde matériel, à commencer par notre propre structure corporelle, par nature vulnérable. Nous pouvons nous y fier comme un espace fiable puisqu’il nous envoie les informations dont nous avons besoin pour vivre.
 
Ainsi la faim quand nous avons besoin de manger, la soif quand nous avons besoin de boire, la peur quand nous avons besoin de créer de la sécurité, si nécessaire en prenant la fuite pour éviter le danger.
 
Ce sont donc nos sensations qui sont nos meilleurs guides pour nous signaler nos besoins en manque de satisfaction.

Nos émotions, une mine d’information

Nos émotions nous informent sur nos besoins et nos motivations.


En plus des besoins fondamentaux comme l’air, l’eau et la nourriture, nous avons d’autres besoins, moins primaires et néanmoins incontournables, pour préserver notre intégrité d’être.
 
En premier lieu le besoin d’être en sécurité dans notre environnement, mais aussi le besoin d’être identifié au sein de notre groupe social. Et enfin, un besoin plus personnel, celui de réalité d’être une personne singulière qui mène un projet. A eux tous, ils constituent le besoin fondamental d’intégrité, tant physiologique que psychique – homéostasie, en terme médical.
 
C’est dire si les besoins fondamentaux sont à l’origine de notre motivation et des sensations de satisfaction. Mais ils sont aussi à l’origine de nos frustrations et des sensations douloureuses de manque. C’est à ce moment là que se déclenche l’émotion racine, la peur, pour nous presser à pallier ce manque.

Comprendre l’émotion pour échapper à son emprise.

« Loin d’être un problème, l’émotion est une solution » *

Difficultés de communication, de motivation, dépendance, sentiments de solitude, culpabilité, angoisse, agressivité, stress…

Ces douleurs sont avant tout les témoins d’émotions mal comprises et débordantes. Or, la peur, la colère et la tristesse sont un langage intelligent. Connaître et comprendre ce langage, c’est se libérer de l’emprise que nos émotions ont sur nos choix et nos rencontres… 

La Logique Émotionnelle est le modèle biologique du fonctionnement et des mécanismes cérébraux qui régissent l’ensemble de nos comportements et de nos adaptations. Elle est issue des recherches de Catherine Aimelet-Périssol sur cette bio-logique que constituent les émotions, permettant à chacun de mieux connaître sa nature psycho-corporelle.

C’est aussi un processus thérapeutique où l’accompagnement par l’écoute fait émerger les capacités d’autoguérison qui caractérisent l’être vivant. Catherine Aimelet-Périssol en pose les grands principes dans « Comment apprivoiser son crocodile » en 2002 ; c’est en 2005 qu’elle choisit le nom de Logique Émotionnelle (LE) pour définir sa méthode.

Fondée sur les derniers développements des neurosciences et les travaux sur le stress d’Henri Laborit, la Logique Émotionnelle offre une connaissance du Soi bio-logique et non conscient qui permet de mieux saisir les enjeux psychologiques qui perturbent notre conscience.

La logique du vivant, dont le cerveau est le grand organisateur, modèle nos ressentis et nos comportements, si souvent commentés comme irrationnels par nous et dysfonctionnels par les autres.

Pratiquer la Logique Émotionnelle, c’est opérer un ralenti sur images et un zoom avant sur ce qui se joue de vital en nous, sous l’effet de nos émotions et de nos états d’âme. C’est ainsi accéder à plus de libre arbitre, tant dans nos choix que dans nos relations aux autres.

* Catherine Aimelet-Périssol

Vous êtes débordés par vos émotions ?

Vous ne comprenez pas vos comportements défensifs ?
On vous dit hypersensibles car vous réagissez pour un rien ?
Vous voudriez changer mais votre peur, votre colère et/ou votre tristesse sont plus fortes que vous ?

La Logique Émotionnelle® peut vous aider

Car, non, l’émotion, en soi, n’est pas un problème : elle serait même un début de solution.

Elle est un signal d’alarme, une suite de réactions corporelles puis psychiques pour (vous) dire que quelque chose ne va pas, qu’il (vous) est arrivé quelque chose et qu’il est temps de ralentir pour entendre le besoin qui vous appelle !
Le seul problème est que, parfois, vous n’écoutez ni l’émotion, ni le besoin. Alors, votre cerveau fait tout un plat de ce qui pourrait être traité avec plus de justesse et de bienveillance.

Parce que l’émotion a du bon sens et une fonction. Elle est logique. Et c’est en vous familiarisant avec son processus et son message caché mais vital que vous pourrez vous sentir, non plus débordés, mais plus libres.

Institut de Logique Emotionnelle - 9 rue d'Avron 75020 Paris

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